La balkanisation de la Chine semble être imminente : la Chine se divise en sept parties…
La balkanisation de la Chine semble être imminente. La soi-disante unité au sein du Parti communiste chinois est en lambeaux, les trois factions sont toutes impliquées dans une querelle amère. Cela devrait s’intensifier dans les mois à venir, déclenchant le début d’une révolution, puis la désintégration du pays en sept territoires indépendants.
La faction de Shanghai dirigée par Jiang Zemin, et la faction de Pékin dirigée par Hu Jintao sont capturés dans une guerre secrète avec la faction de Zhenjiang dirigée par le président Xi Jinping. Chacun essaye d’éliminer l’influence de l’autre dans ce jeu politique sale. Dans les coulisses, il y a une énorme agitation, des manifestations pro-démocratiques contre le régime actuel qui ne sont guère mentionnées dans les médias internationaux et nationaux hautement censurés.
Les espions et les analystes qui surveillent de près les turbulences croissantes en Chine pensent que l’effondrement est susceptible d’être accéléré. En effet, une répression sans précédent contre l’opposition et la disparition des avocats et des militants des droits de l’homme entraîne un énorme chaos dans l’arrière-pays chinois.
« Grâce à un contrôle brutal sur les médias, la Chine a réussi à censurer les reportages sur des centaines de manifestations dans les provinces. Mais certains militants clandestins ont fourni des détails sur ce que nous connaissons maintenant comme un soulèvement majeur contre le régime de Xi Jinping avant le 19e Congrès national du Parti communiste « , ont-ils déclaré.
« La Chine atteint enfin un point de basculement et le Xinjiang, la Mandchourie, Hong Kong, le Tibet, Chengdu, Zhangzhung et Shanghai pourraient se transformer en nations libres après une révolution chinoise ». Ils ont ajouté que le gouvernement chinois fait tout pour attirer l’attention sur l’impasse du Doklam et la posture nucléaire de la Corée du Nord contre les États-Unis dans le but de soutenir le rassemblement pour Jinping. Teng Biao, militant et défenseur des droits de l’homme le plus connu en Chine, a déclaré au The Sunday Standard de New York que la Chine effectue une escalade vers une impasse et que Jinping utilise l’occasion pour galvaniser sa base de soutien en baisse.
Teng a déclaré que des manifestations contre l’Inde en Chine sont parrainées par le Parti communiste au pouvoir. Il a également déclaré que les militants pro-démocratiques travaillaient tranquillement à créer une révolution contre la règle du parti unique en Chine pour installer un gouvernement démocratique.
Selon Teng : « Nous ne savons pas si cela prendra cinq ou dix ans. Il est clair que nous ne restons pas à rien faire, mais préparons une autre révolution comme celle de 1989. En dépit de la répression des médias sociaux et des blogs par le régime de Jinping, les militants et les avocats utilisent d’autres moyens pour expédier des informations et aider la révolution »
« L’objectif principal du Parti communiste chinois est le monopole absolu par tous les moyens, mais nous avons renforcé les groupes de défense des droits depuis le début 2000 ce qui nous a donné la possibilité de révolution. Le Parti communiste, dirigé par Xi Jinping, est également confronté à des crises majeures entre le parti et le peuple et une crise économique « .
« De plus en plus de gens décident de ne pas croire à la propagande de Jinping. L’écart entre pauvres et une poignée de riches s’élargit. Seules les personnes qui ont des liens étroits avec les hautes sphères du gouvernement et Jinping prospèrent et c’est la raison pour laquelle les gens ne voient pas une réforme politique dans le Parti communiste, mais ils veulent l’ arracher à ses racines, « C’est ce que déclare Teng, qui a déjà été emprisonné par le régime chinois pour soutien pro- démocratique.
Plusieurs groupes d’Afghanistan ont récemment renouvelé leur soutien à la région du Xinjiang qui était autrefois dominée par environ 10 millions d’Ouïgours musulmans. La Chine est intervenue dans les régions limitrophes de l’Afghanistan après que le ministère chinois de la Sécurité d’Etat annonce que des djihadistes entraînés rentraient au Xinjiang.
Selon nos sources, la dernière attaque a été sur la langue, commencée dans la ville de Hotan au Xinjiang au début de juillet 2017 lorsque le gouvernement chinois a décidé de retirer la langue ouïgoure des écoles, rendant le mandarin obligatoire.
Analyse de Yatish Yadav du The New Indian Express
Traduction France Tibet
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